Le roi lézard

Louise Morvan a une obsession : venger son oncle Julian Eden abattu il y a vingt ans. Insaisissable, il côtoyait une faune interlope d’artistes, dont le fameux Roi Lézard, Jim Morrison himself ! Avec Serge Clémenti, commissaire à la poursuite du « killer des quais », Louise enquête dans un Paris psychédélique et déjanté. On ne réveille pas impunément les démons du passé… « Tu es enfin prête à interroger tout Paris. Jusqu’aux gargouilles de Notre-Dame. »

L’éditeur tient à prévenir le lecteur que Le Roi Lézard est une nouvelle version inédite de Travestis de Dominique Sylvain, paru en mars 1998. Ce livre, épuisé, lui tenant particulièrement à cœur, l’auteur a souhaité en reprendre l’écriture avant la réimpression envisagée. Pourtant, de déconstruction en déconstruction, d’interventions de nouveaux personnages – au point que le meurtrier lui-même est un autre -, et compte tenu de l’importance que prenait , au fil de la narration, Jim Morrison (The Lizard King), le chanteur du groupe mythique The Doors, il a fallu se rendre à l’évidence : il s’agissait là d’un roman qui n’avait plus beaucoup à voir avec l’œuvre d’origine. Un nouveau titre s’imposait ; ainsi est né Le Roi Lézard, titre choisi en hommage au poète-chanteur mort à vingt-sept ans le 3 juillet 1971 à Paris.

Le roi lézard

Louise Morvan a une obsession : venger son oncle Julian Eden abattu il y a vingt ans. Insaisissable, il côtoyait une faune interlope d’artistes, dont le fameux Roi Lézard, Jim Morrison himself ! Avec Serge Clémenti, commissaire à la poursuite du « killer des quais », Louise enquête dans un Paris psychédélique et déjanté. On ne réveille pas impunément les démons du passé… « Tu es enfin prête à interroger tout Paris. Jusqu’aux gargouilles de Notre-Dame. »

L’éditeur tient à prévenir le lecteur que Le Roi Lézard est une nouvelle version inédite de Travestis de Dominique Sylvain, paru en mars 1998. Ce livre, épuisé, lui tenant particulièrement à cœur, l’auteur a souhaité en reprendre l’écriture avant la réimpression envisagée. Pourtant, de déconstruction en déconstruction, d’interventions de nouveaux personnages – au point que le meurtrier lui-même est un autre -, et compte tenu de l’importance que prenait , au fil de la narration, Jim Morrison (The Lizard King), le chanteur du groupe mythique The Doors, il a fallu se rendre à l’évidence : il s’agissait là d’un roman qui n’avait plus beaucoup à voir avec l’œuvre d’origine. Un nouveau titre s’imposait ; ainsi est né Le Roi Lézard, titre choisi en hommage au poète-chanteur mort à vingt-sept ans le 3 juillet 1971 à Paris.

RETOURS DE LECTURE (PRESSE, LIBRAIRES, BLOGS…)

  • Un ancien flic déjanté, un tueur des quais qui trucide les sans-abri, une jeune Russe, un producteur de disques, une comtesse et un mafieux au cerveau grillé constituent l’étonnante galerie de portraits d’un polar très rock’n’roll.
    La Nouvelle Vie Ouvrière
  • Dominique Sylvain nous restitue un Paris sombre par une écriture forte, convulsive.
    Valeurs actuelles
  • C’est du polar, du noir, du bon, du vrai, qui nous mène dans la nuit sombre des sans-abri qui traînent la cloche sur les quais de Paris, avec des commanditaires, des méchants, des rebondissements, une héroïne belle, amoureuse, dangereuse, sulfureuse, qui part « sur les traces de Frankenstein cherchant Dracula », et des fantômes, des fantômes.
    Véronique Poirson, Les 8 Plumes, blogs.lexpress.fr
  • En convoquant feu Jim Morrison, Dominique Sylvain donne le tempo, très rock’n’roll, a son roman truffé de références musicales.
    Françoise Dargent, Le Figaro Littéraire
  • Ce livre plus qu’attachant, où la mort, à Paris, de Jim Morrison, le chanteur des Doors, tient une place importante, même s’il parle en fait d’autre chose, serait une nouvelle version de Travestis publié en 1998. Disons que c’est un autre livre. De toute façon, pour les beaux yeux de Louise Morvan, la détective rock’n’roll de ce roman, on est prêt à prendre n’importe quelle route.
    Yann Plougastel, Le Monde
  • Bref, ça va castagner sur une bande son bien rythmée, d’autant plus que la Louise est plutôt du genre à mouiller sa chemise pour arriver à ses fins. 
    moustafette.canalblog.com