Guerre sale

L’avocat Florian Vidal, spécialiste du marché de l’armement, a été tué de manière atroce : brûlé vif près d’une piscine, un pneu enflammé autour du cou. Il était le fils spirituel du célèbre Richard Gratien, maillon essentiel des contrats juteux de la Françafrique. Cinq ans plus tôt, Toussaint Kidjo, l’assistant de Lola Jost – un métis franco-congolais – avait été assassiné de la même façon. Bouleversée par ce meurtre jamais élucidé, l’ex-commissaire du 10e avait anticipé sa retraite. Le lien entre les deux affaires ne fait aucun doute. Pourtant, confrontées aux intérêts politico-financiers en jeu, Lola et son amie américaine, Ingrid Diesel, se résignent à collaborer avec Sacha Duguin, devenu Commandant à la Crim’…

Meilleur polar français de l’année 2011 (élu par la rédaction du magazine LIRE)
Prix Orange du roman noir 2011

 

Guerre sale

L’avocat Florian Vidal, spécialiste du marché de l’armement, a été tué de manière atroce : brûlé vif près d’une piscine, un pneu enflammé autour du cou. Il était le fils spirituel du célèbre Richard Gratien, maillon essentiel des contrats juteux de la Françafrique. Cinq ans plus tôt, Toussaint Kidjo, l’assistant de Lola Jost – un métis franco-congolais – avait été assassiné de la même façon. Bouleversée par ce meurtre jamais élucidé, l’ex-commissaire du 10e avait anticipé sa retraite. Le lien entre les deux affaires ne fait aucun doute. Pourtant, confrontées aux intérêts politico-financiers en jeu, Lola et son amie américaine, Ingrid Diesel, se résignent à collaborer avec Sacha Duguin, devenu Commandant à la Crim’…

Meilleur polar français de l’année 2011 (élu par la rédaction du magazine LIRE)
Prix Orange du roman noir 2011

 

RETOURS DE LECTURE (PRESSE, LIBRAIRES, BLOGS…)

  • Quel livre ! Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas lu un aussi bon polar. Tout y est : le rythme, les rebondissements, l’intrigue, les personnages… Et le style. On ne lâche pas ce roman à la mécanique impeccable avant l’ultime paragraphe – et le coup de tonnerre sur lequel il se clôt. Dominique Sylvain, Française installée à Tokyo et qui doit connaître par cœur l’œuvre intégrale de Chandler, a réussi un coup de maître.
    François Busnel, L’Express
  • Des personnages habilement campés, comme Sacha Duguin, ancien amant d’Ingrid et enquêteur sourcilleux, complètent le charme puissant et vénéneux d’un livre qui parle de la Françafrique, de scandale politico-financier, d’amour. Mais aussi de Paris avec une empathie contagieuse.
    Yann Plougastel, Le Monde
  • Tous les personnages, de chair et de sang, morflent bougrement d’une manière ou d’une autre car remuer le passé a un prix et la vengeance est un plat toujours indigeste.
    www.froggydelight.com
  • Sur un fond « Françafrique » (qui n’est pas l’essentiel), un roman retors qui mêle intrigue complexe, héros attachants et ressorts psychologiques insoupçonnés. Cela faisait longtemps que l’on n’avait pas été aussi convaincu – et surpris – par un auteur de roman policier français.
    culture.france2.fr
  • L’intrigue complexe est parfaitement maîtrisée. Les dialogues sont vifs et percutants, les rebondissements nombreux et étonnants, la violence omniprésente et magnétique. Tout autant que ses personnages, l’auteur manipule le lecteur du début à la fin. Du grand, très grand Sylvain !
    Cali Rise, www.impudique.net
  • Ce petit bijou de polar ultra-réaliste sur les scandales politico-financiers de l’armement, émaillé de rebondissements qui prennent aux tripes et servi par une plume intelligente, laisse à penser que Viviane Hamy, après Fred Vargas, a décidément du flair pour dégoter les Rolls françaises du genre.
    Julie Malaure, Le Point
  • A l’occasion de son passage en Afrique, elle prend le risque de confronter ses personnages à un univers inconnu, le plus dangereux étant celui où la raison d’Etat se croit la plus forte. Elle y parvient avec une réelle maîtrise de l’intrigue policière, alliée à une écriture à la hauteur de son ambition.
    Alain Nicolas, L’Humanité
  • Tout l’art de Dominique Sylvain est de débroussailler l’affaire au coupe-coupe. Guerre sale déroule sur un tempo de Kenny Clarke une construction romanesque sophistiquée comme un Rubik’s Cube. Avec une écriture élégante et poivrée.
    Thierry Gandillot, Les Échos
  • Entre les tenues extravagantes de l’effeuilleuse et les penchants de Sigmund pour le rhum, Dominique Sylvain s’aventure sur des terrains aussi insolites que les anciennes pompes funèbres de Paris et trouve sur le sol de la Françafrique le plus fertile des terreaux pour les embrouilles. 
    Frédérique Bréhaut, Le Courrier de l’Ouest
  • Pour Guerre sale, l’auteur a empilé une copieuse documentation sur le secteur de l’armement concernant la Françafrique, plongeant dans les carnets des Renseignements généraux et dans les affaires de Karachi ou de Clearstream. Puis elle a reposé ses dossiers, ses extraits de presse, mis Kind of Blue de Miles Davis en sourdine et transpiré devant son ordinateur au mois autant que dans sa salle de sport pour reconstruire une histoire d’amour et de mort.
    Christine Ferniot, Lire
  • Quel punch ! Quelle brutalité parfois ! J’ai vraiment été surpris au départ, tant les phrases sont directes, sans fioritures. Cela donne une force au propos, mais aussi une impression que l’on vous assène des coups de poing. C’est un style violent, direct, acéré que j’ai trouvé très agréable à lire.
    Pierre Faverolle, black-novel.over-blog
  • Des personnages incarnés, charnels, auxquels on croit immédiatement, auxquels on s’attache, ou auxquels on a envie de filer des claques. Ils sont vrais, complexes, jamais entièrement blancs ou noirs (sans jeu de mot idiot) avec leurs côtés sombres, leur grandeur, leur méchanceté et leur générosité, bref, des vrais humains.
    Jean-Marc Laherrère, actu-du-noir.over-blog.com