Techno bobo
Seine Maritime : au cours d’une rave dans une propriété privée, des témoins ont vu deux jeunes filles sauter ensemble du haut d’une falaise. L’autopsie révèle que Katia Pachenko et Véronique Etienne avaient ingurgité un cocktail d’ecstasy et de kétamine.
Pour la gendarmerie, le suicide ne fait aucun doute. Dans un parc parisien, une jeune Asiatique sans papiers est retrouvée égorgée et vitriolée ; cachés dans la boucle de sa ceinture : trente comprimés d’ecstasy. Les lieutenants N’Diop et Argenson, soupçonnent un lien et tentent de convaincre le commissaire Clémenti de rouvrir l’enquête sur l’affaire Pachenko/Étienne.
En vain. Un ami de Katia, persuadée que celle-ci n’a pas pu se suicider, engage Louise Morvan.
Techno bobo
Seine Maritime : au cours d’une rave dans une propriété privée, des témoins ont vu deux jeunes filles sauter ensemble du haut d’une falaise. L’autopsie révèle que Katia Pachenko et Véronique Etienne avaient ingurgité un cocktail d’ecstasy et de kétamine.
Pour la gendarmerie, le suicide ne fait aucun doute. Dans un parc parisien, une jeune Asiatique sans papiers est retrouvée égorgée et vitriolée ; cachés dans la boucle de sa ceinture : trente comprimés d’ecstasy. Les lieutenants N’Diop et Argenson, soupçonnent un lien et tentent de convaincre le commissaire Clémenti de rouvrir l’enquête sur l’affaire Pachenko/Étienne.
En vain. Un ami de Katia, persuadée que celle-ci n’a pas pu se suicider, engage Louise Morvan.
RETOURS DE LECTURE (PRESSE, LIBRAIRES, BLOGS…)
- Le blues de Dominique Sylvain, c’est de la pure techno. Un beat d’enfer ! Nul besoin d’ecstasy pour vibrer. Le livre se construit sur le mode de la répétition musicale, une pulsation permanente. Impossible de lâcher l’affaire.
François Aubel, L’Evénement du Jeudi - La première phrase vous entraîne tout de suite dans le tourbillon : « Elle ne savait pas si la nuit était noire ou si elle était devenue aveugle. Cela n’avait pas d’importance puisque deux nouveaux yeux s’étaient ouverts dans sa tête ». Enfin un incipit pas insipide.
Frédéric Beigbeder, Voici
- Le lecteur qui osera commencer le livre un soir sera prudent de se ménager une grasse matinée ; évasion impossible.
Jacques Guichard, Le Maine Libre - Un style léger et brillant, avec des pointes d’ironie très british.
F.M. Santucci, Libération